Je dois te trouver un nom.
Un nom qui lorsque je le dis t’apporte bien, de moi plus de choses
C’est avec ce nom que tu dois tourner la tête regardant vers moi
Ce son doit me raconter, raconter ce que je ne sais
Et raconter ce que je ne suis pas
Je t’ai trouvé un son
Au lieu du nom en cherchant dans des fleurs
Par une vallée, en faisant passer les souvenirs de toi
Un son qui est doublure du passé et signification d’un avenir
Tu as été crée et j’ai disparu dans cette signification-là
En appelant ton nom j’aime au soleil tourner
Mon visage…. Lorsque mon visage et ton visage s’unissent naît une “lune”
La terre tremble jusqu ‘à sa moelle, après
Je me rappelle de mes années antérieures comme si tu existais déjà
Autour d’un cercle, d’une plaine et d’un mont j’errais
Tu dois comprendre….pourquoi un homme existe
Pourquoi il vide ses mains lorsqu’il pleut
Qu’attend il d’une rêverie née d'entre ses sourcils
Il retient les gouttes comme s’il la retrouvait
Il la trouve dans un passé qui n’a pas eu lieu et un futur qui ne vit
Moi je n’ai rien dit
Mais toi tu as compris
Où es-tu au milieu de mon silence, à quel endroit
Où est mon cœur dans cet amour pas même ressenti
Tu n’es pas là et c’est pourquoi tu es là toujours là
Si je me réveille il fera soir je serai en retard
Du soleil qui naît de toi quand je ferme les yeux
A l’atome cru d’une goutte infinie, dans la lueur naissante : tes yeux
Dis “j’ai soif” tu étais là mais j’étais seul, alors
A t’embrasser et t’embrasser jamais ne s'éteindra la fragrance de tes lèvres feu
Dans l’ancien temps de garde devant l’eau
Même les jours pas encore nés de demain sont pleins du bonheur des ceux venus et passés
Je te vois grandir quand je regarde hier
Tu es bien plus présente que si tu te trouvais près de moi
Chaque matin dans mon lit je trouve une promesse chère
Je dois te trouver un nom
Plus vif que le son qui se dit sans l’épeler un titre immortel
Comme le bruit de vagues pas nées venant de la mer
Ayant vécu toute ma vie couvrant mon après vie
Ce nom doit se répercuter quand je me terre
Que demeure à demain nos actes amoureux
Me perdre dans ta chair est comme me plonger dans ta mer
Quand je voue un nom d’enfant à chacun de tes souffles
Ma voix surpasse cette rivière où nous nous baignons nus
L’homme dans ton cœur sera oasis sur tes lèvres sèches
Tu n’es pas et devrais être une étoile dans la voûte céleste
Une étoile filante que je ne vois quand je tourne la tête
Ou qui brille avant que le jour ne s’éclaire chaque matin à ma fenêtre
Que ta lumière amène mon manque de toi c’est comme ça que je survivrai
A ton absence au temps à la distance entre nos êtres
Plus le temps passe plus je suis en toi
Plus j’attends plus je me perds dans ma voûte qui est toi
Les nuages deviennent oiseau, oiseaux une invite pas éclose, jusqu’au matin
Sans dormir je délire comme si tu étais
Parlant à un bouquet de lavande que je n’ai pas humé demain
Quand tu dis raconte moi un conte, je te raconte
La valeur de l’existence dans tes yeux
Je vois grandir ta peur
Je te prends par les mains et pour cette valeur que tu as donnée
Milliers de fois sois remerciée de cette faveur
Avant que tu ne sois dans ma vie dans aucun jardin
Il n’y avait de fleur dans aucune ville de tour
Et dans les arbres quelques fruits douteux
Nos corps enlaçant les troncs d’arbres
Purifiant des péchés dans le lit tortueux
Aucun panneau ne disait viens ici
Alors que toutes les villes disaient je suis ici
Demandant où est le commencement de ce halo naissant
Je vois notre mer cette mer où nous proliférons vers les rivages
En regardant tes yeux qui sont serments à mes égarements
Je ne t’ai pas promis de choir du plus haut point du plaisir
Pas de parole donnée pour amplifier et cacher tes désirs
Tant que je ne suis la plus chaude eau de mer et ne m'y suis baigné
Je ne reconnaîtrai pas de vent ayant ton nom
Et me tiendrai telle une majestueuse montagne devant toi dressé
(Traduit du Turc par Hamiyet Yıldırım)
Un nom qui lorsque je le dis t’apporte bien, de moi plus de choses
C’est avec ce nom que tu dois tourner la tête regardant vers moi
Ce son doit me raconter, raconter ce que je ne sais
Et raconter ce que je ne suis pas
Je t’ai trouvé un son
Au lieu du nom en cherchant dans des fleurs
Par une vallée, en faisant passer les souvenirs de toi
Un son qui est doublure du passé et signification d’un avenir
Tu as été crée et j’ai disparu dans cette signification-là
En appelant ton nom j’aime au soleil tourner
Mon visage…. Lorsque mon visage et ton visage s’unissent naît une “lune”
La terre tremble jusqu ‘à sa moelle, après
Je me rappelle de mes années antérieures comme si tu existais déjà
Autour d’un cercle, d’une plaine et d’un mont j’errais
Tu dois comprendre….pourquoi un homme existe
Pourquoi il vide ses mains lorsqu’il pleut
Qu’attend il d’une rêverie née d'entre ses sourcils
Il retient les gouttes comme s’il la retrouvait
Il la trouve dans un passé qui n’a pas eu lieu et un futur qui ne vit
Moi je n’ai rien dit
Mais toi tu as compris
Où es-tu au milieu de mon silence, à quel endroit
Où est mon cœur dans cet amour pas même ressenti
Tu n’es pas là et c’est pourquoi tu es là toujours là
Si je me réveille il fera soir je serai en retard
Du soleil qui naît de toi quand je ferme les yeux
A l’atome cru d’une goutte infinie, dans la lueur naissante : tes yeux
Dis “j’ai soif” tu étais là mais j’étais seul, alors
A t’embrasser et t’embrasser jamais ne s'éteindra la fragrance de tes lèvres feu
Dans l’ancien temps de garde devant l’eau
Même les jours pas encore nés de demain sont pleins du bonheur des ceux venus et passés
Je te vois grandir quand je regarde hier
Tu es bien plus présente que si tu te trouvais près de moi
Chaque matin dans mon lit je trouve une promesse chère
Je dois te trouver un nom
Plus vif que le son qui se dit sans l’épeler un titre immortel
Comme le bruit de vagues pas nées venant de la mer
Ayant vécu toute ma vie couvrant mon après vie
Ce nom doit se répercuter quand je me terre
Que demeure à demain nos actes amoureux
Me perdre dans ta chair est comme me plonger dans ta mer
Quand je voue un nom d’enfant à chacun de tes souffles
Ma voix surpasse cette rivière où nous nous baignons nus
L’homme dans ton cœur sera oasis sur tes lèvres sèches
Tu n’es pas et devrais être une étoile dans la voûte céleste
Une étoile filante que je ne vois quand je tourne la tête
Ou qui brille avant que le jour ne s’éclaire chaque matin à ma fenêtre
Que ta lumière amène mon manque de toi c’est comme ça que je survivrai
A ton absence au temps à la distance entre nos êtres
Plus le temps passe plus je suis en toi
Plus j’attends plus je me perds dans ma voûte qui est toi
Les nuages deviennent oiseau, oiseaux une invite pas éclose, jusqu’au matin
Sans dormir je délire comme si tu étais
Parlant à un bouquet de lavande que je n’ai pas humé demain
Quand tu dis raconte moi un conte, je te raconte
La valeur de l’existence dans tes yeux
Je vois grandir ta peur
Je te prends par les mains et pour cette valeur que tu as donnée
Milliers de fois sois remerciée de cette faveur
Avant que tu ne sois dans ma vie dans aucun jardin
Il n’y avait de fleur dans aucune ville de tour
Et dans les arbres quelques fruits douteux
Nos corps enlaçant les troncs d’arbres
Purifiant des péchés dans le lit tortueux
Aucun panneau ne disait viens ici
Alors que toutes les villes disaient je suis ici
Demandant où est le commencement de ce halo naissant
Je vois notre mer cette mer où nous proliférons vers les rivages
En regardant tes yeux qui sont serments à mes égarements
Je ne t’ai pas promis de choir du plus haut point du plaisir
Pas de parole donnée pour amplifier et cacher tes désirs
Tant que je ne suis la plus chaude eau de mer et ne m'y suis baigné
Je ne reconnaîtrai pas de vent ayant ton nom
Et me tiendrai telle une majestueuse montagne devant toi dressé
(Traduit du Turc par Hamiyet Yıldırım)
C'est comme une caresse dans le silence et dans l'obscurité... Tu as beaucoup de talent. Merci de l'avoir partagé.
YanıtlaSilFranca Camurato Carfagno
Bu yorum yazar tarafından silindi.
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